L’air est frais, le soleil luit faiblement. La brume du matin commence à se lever, et les nuages se dissipent peu à peu. Dans le vallon, le calme n’est troublé que par le son d’une cornemuse, lointaine, transportant note après note un chant de liberté.
Le musicien marche en jouant de son instrument. Silhouette solitaire dans le matin, il va comme à son habitude donner vie aux magnifiques montagnes d’Ecosse. Son air est beau et triste à la fois.
Chacun possède dans son cœur un havre de paix. Le mien sera toujours dans les Highlands. C’est là que je ressens ce lien unique.
Je reverrais bientôt mes Highlands. Et à cette pensée, mon cœur s’allège.